En l'an soixantième de son âge, Gaston s'était résolu à ne plus vouloir avoir raison.
Dans mon jeune âge, j'aimais beaucoup les billets de François Nourissier dans Le Point. À présent il m'arrive de lire ses livres pour me consoler de son absence. Si l'on peut oublier la médiocre " Allemande ", il faut lire de toute urgence " À défaut de génie " où le maître conte avec un humour désespéré son combat contre la maladie de Parkinson.
Gaston n'avait pas aimé que Colombine lui répondît: " La bague? Quelle blague?"