Gaston avait la nostalgie de l'époque où les jeunes gens se voussoyaient dans les romans.
Gaston regrettait que Balzac et Stendhal n'eussent écrit aucun roman sur l'occupation russe à Paris.
Quand Gaston découvrit que le colonel Michel Goya n'avait qu'un an de plus que lui, il sentit vieux.Gaston se rappelait l'époque où il écrivait des lettres à ses amis.
Au bout de trois tentatives, Gaston avait plus ou moins assimilé le contenu des cinquante premières leçons de " L'allemand sans peine." Il ne lui restait plus que la moitié du livre à étudier.