Gaston avait toujours trouvé Raïssa Gorbatcheva très attirante.
Quand Mélusine quitta Gaston, il s'en ouvrit à l'une de ses accointances qui, pour toute consolation, lui conseilla une bonne confession.Bonjour! Je suis souffrant.
Quand Gaston avait l'inspiration, il était content et se sentait presque utile.
Gaston se demandait s'il y avait beaucoup de balourdes chez les palourdes.
Gaston trouvait que le Prix Nobel de littérature, mérité par l'excellence de son œuvre, tardait à venir.
Las du roman, inapte au théâtre et à la poésie, Gaston songeait à tenir un journal mais il n'avait rien à dire.
Gaston ignorait s'il était odieux ou aux dieux à moins que ce ne fût les deux.