En lisant le Bloc-notes de François Mauriac, je tombe sur cette phrase tragique. ‘’ Je n’entendrai plus le « Caubet !Lauret » du laboureur qui avait changé bien souvent depuis mon enfance, mais c’était toujours la même intonation monotone, les mêmes mots de ce patois que j’ai connu vivant, et qui est désormais une langue morte. ‘’ (mardi 6 septembre 1966)