Chaque été j’ai coutume de lire un livre de Balzac. Je dois vous révéler un secret. Balzac était bon, très bon. Dans ce conte, il pressent les fondements de la peinture moderne.
En quelques pages l’auteur sait animer les personnages, les caractériser, leur donner une profondeur humaine.
L’atelier du peintre Forbus se situa au numéro 7 de la rue des Grands-Augustins ainsi que l’atelier de Pablo Picasso. Dans mon roman L’année de Syracuse, l’oncle Anatole déjeune avec Picasso au Catalan un restaurant de cette rue.
Peut-être le nostalgiques se rappelleront-ils que dans la même rue se trouvait, à l’angle de la rue Saint André des Arts, la regrettée librairie Pam de Nas.
’’ La mission de l’art n’est pas de copier la nature, mais de l’exprimer ! Tu n’es pas un vil copiste mais un poète. ‘’
‘’ Dans ses moments de désespoir, il prétend que le dessin n’existe pas et qu’on ne peut rendre avec des traits que des figures géométriques. ‘’